Bye bye 2020 !
Bon, je ne vais rien vous apprendre mais 2020 a été une année pour le moins particulière. Elle a quand même eu son lot de moments agréables mais il était temps qu'elle se termine, avec on l'espère des jours meilleurs à venir.
The Goes Wrong Show
Totalement, et injustement, méconnu du grand public, The goes wrong show est une série de six épisodes tous plus loufoques les uns que les autres. On y découvre à chaque fois les déboires d'une troupe de théâtre amateur (avec pas mal de budget quand même) lors d'une représentation à chaque fois catastrophe, rien (mais vraiment rien) ne fonctionnant comme ils l'avaient prévu. Les six épisodes sont six pièces différentes dans des styles bien distincts. Étant un grand amateur d'humour british, d'absurdité et de comique de répétition, j'ai complètement adhéré à ces shows loufoques et catastrophes, bourré d'excellentes idées. Je conseillerais toutefois de ne pas enchainer les épisodes car les ressorts comiques se ressemblent et il pourrait y avoir un petit goût répétitif. The goes wrong show se déguste plutôt par petites touches, comme un excellent gâteau très sucré dont il ne faut pas abuser mais auquel on prend un immense plaisir chaque fois qu'on se pose pour le goûter.
Diagrammes malins
Parce que Twitter me fait parfois sourire.
Dark
Cette série allemande (et oui), j'en avais beaucoup entendu parler en bien, j'ai mis du temps à me lancer et je ne regrette absolument pas, bien au contraire. Malgré une troisième (et dernière) saison en-dessous selon moi, Dark est une série exceptionnelle, vraiment complexe à cause de ses nombreux personnages et différentes époques (il m'est arrivé de mettre pause pour digérer l'arbre généalogique) mais passionnante et bourrée de qualités: un casting parfait (les comédiens sont tous excellents et les ressemblances entre les différents âges sont souvent bluffantes), une réalisation et une photographie de tout premier ordre, une excellente bande originale et un scénario vraiment prenant. Encore une fois dommage que cette saison 3, trop complexe et farfelue, gâche un peu la fête. Mais ne vous y trompez pas: Dark est fantastique (dans tous les sens du terme).
Tournage improvisé !
Si il y a un truc sur lequel je dois travailler en 2021, c'est la ponctualité. On va pas se mentir, ce n'est pas mon fort. Mais parfois, vraiment, il y a des circonstances atténuantes. Et ce mini strip trouvé aux détours du web m'a fait sourire.
Tournage improvisé !
Pour une raison logistique, je devais rester avec le matériel dans le 95 le lendemain du tournage d'Un bon moment. J'ai donc proposé d'en profiter pour tourner un autre court-métrage. Ma proposition ayant fait mouche, on s'est retrouvé à cinq avec juste une caméra devant le château de Mery sur Oise. Et même si on a failli mourir de froid, on a bien rigolé et mis en boite en peu de temps cette blagounette qu'est Chinmoku no gemu.
Fin de tournage pour Un bon moment !
Comme chaque année, je suis plutôt chaud avec le festival Nikon. Après Rêve Bleu et Rien de spécial il y a quelques semaines, voici un nouveau tournage bouclé avec les copains: Un bon moment, écrit par mes soins et réalisé par Jérôme Piel-Desruisseaux.
Les joies de l'internet
Si sur internet et les réseaux sociaux, on croise beaucoup de vulgarité et de violence verbale, il arrive quelques fois de tomber sur des perles. Par exemple, cette personne qui a adapté les dessins d'enfants pour voir à quoi ils ressembleraient s'ils étaient transposés dans la vraie vie m'a donné le sourire. Je trouve l'idée très drôle, mignonne et inventive. Voici donc quelques unes de ses créations "cauchemardesques".
Une légende s'en va
Quasiment impossible d'être passé à côté du décès de la légende argentine du ballon rond, Diego Armando Maradona. De nombreux hommages lui ont été rendus mais j'ai trouvé le titre du Gorafi Sports particulièrement bien vu. Les connaisseurs apprécieront...
Fournée de lecture de confinement n°2
Pour mieux appréhender ce nouveau confinement, une belle fournée lecture s'imposait. Voici donc dans ma besace:
- La vie en sourdine (de David Lodge).
- Léon l’Africain (d’Amin Maalouf).
- La maison (d’Emma Becker).
- L’étrange vie de Nobody Owens (de Neil Gaiman).
- En attendant Bojangles (de Olivier Bourdeaut).
- La nuit du renard (de Mary Higgins Clark).
- Hôtel du grand cerf (de Franz Bartelt).
- La disparition de Jim Sullivan (de Tanguy Viel).
- Art (de Yasmina Reza).
- et l’excellent Fief (de David Lopez) que je viens de finir.
Et en bonus, de la BD, de l’absurde et du talent avec Fornica et Zaï zaï zaï zaï de Fabcaro.
Retour au lycée!
Pendant le confinement, j'en ai profité pour faire un grand ménage de printemps (en novembre, oui) (y a plus de saisons). Rangement, tri, tout ce qui végétait dans mes tiroirs et armoires est passé au crible. L'occasion de tomber sur cette vieille publicité Caisse d'Épargne, me ramenant quelques années en arrière.
The Haunting of Hill House
Plusieurs frères et sœurs qui, enfants, ont grandi dans la demeure qui allait devenir la maison hantée la plus célèbre des États-Unis sont contraints de se retrouver pour faire face à cette tragédie ensemble. La famille doit enfin affronter les fantômes de son passé, dont certains sont encore bien présents dans leurs esprits. Tel est le pitch de cette série horrifique dont j'ai entendu beaucoup de bien. Même si le genre n'est pas un de mes préférés, j'ai quand même fini par donner sa chance à The Haunting of Hill House. Et même si les images sont belles et que techniquement, ça tient la route (un épisode avec de longs plans séquences (trop bavards) assez impressionnants), je n'ai pas accroché à la série, la faute à un casting faiblard (les enfants s'en sortent bien par contre), des longueurs inutiles et des grosses ficelles pas bien subtiles.
Halloween baby !
Pour célébrer cet Halloween confiné, je vous propose quelques-unes de mes métamorphoses effectuées ces dernières années pour des tournages et des shootings. Toujours un plaisir pour moi de me grimer et ne pas me reconnaître, j'espère qu'il y aura donc à l'avenir d'autres occasions de se transformer en des personnages tous plus étranges les uns que les autres.
Fin de tournage pour Rien de spécial !
Et voici nos trois jours de tournage qui se terminent enfin avec cette journée consacrée à Rien de spécial (c'est le titre du film hein, on n'a pas consacré notre journée à rien faire - BIEN AU CONTRAIRE), une journée au timing serré, une vraie course contre la montre, pas aidée par le couvre-feu. Tout est quand même dans la boite, hâte d'attaquer le montage, de vous faire découvrir les films et de dormir ! :)
Fin de tournage pour Rêve Bleu !
Cela fait quinze jours que j'étais en prépa intensive pour les deux courts-métrages que je co-réalise dans le cadre du festival Nikon avec mon cher binôme Michaël Marie: Rêve Bleu et Rien de spécial. A la fois excité d'y être et déjà lessivé avant même de commencer, on a attaqué avec deux jours pour Rêve Bleu. Tout s'est goupillé à merveille, bien aidé par une super équipe. Mais pas le temps de se reposer, on enchaine avec Rien de spécial !
Ô la belle vue !
Cela faisait des années que je ne l'avais pas fait, je suis monté au deuxième étage de la tour Eiffel et j'ai pu apprécier une vue pas trop vilaine de Paris. J'aime !
Le décor de fou !
Pour les besoins d'une figu de nuit pour une série Netflix à venir, nous avons eu la chance de prendre place dans la magnifique bibliothèque de l'I.N.H.A. (Institut National d'Histoire de l'Art). Cet endroit est superbe à la base mais de nuit, avec les éclairages, et vide de visiteurs, c'était incroyable.
Le retour du flic !
Après m'être glissé dans l'accoutrement d'un policier le mois dernier pour le compte d'une figuration dans un long-métrage, voici qu'on refait appel à moi pour la même chose et pour le même film quelques semaines plus tard. Cette fois-ci, c'était de nuit et on se sent toujours autant cow-boy avec ces bottes, cette grosse ceinture et ce pistolet.
YOLF au CutCut Festival !
Une bonne nouvelle n'arrivant rarement seule, c'est au tour de YOLF de recevoir les honneurs d'une sélection, cette fois-ci, au CutCut Festival dans la ville de Roanne. C'est ainsi qu'avec Aubry, qui fait la voix de Dieu dans le court-métrage, nous avons pris le train pour un petit week-end sympa. Au programme, de nombreux courts-métrages dont le nôtre projeté sur l'écran géant d'un grand complexe de cinéma et visite de Roanne... sous une pluie torrentielle.
iDAM à Hallnaywood !
Bonne nouvelle pour notre film iDAM qui est sélectionné au festival Hallnaywood à... Aulnay-sous-bois (vous apprécierez la pertinence du jeu de mots). Un plaisir de voir le film dans des super conditions et un bel écran ciné !
Nocturne au Louvre !
De temps en temps, le musée du Louvre, qu'on ne présente plus, ouvre ses portes gratuitement le temps d'un court créneau en nocturne. Tombés sur cette information, on en a profité pour faire une visite express du célèbre musée, avec une population très restreinte (ce qui est, mine de rien, un énorme avantage) et on a eu le temps d'apprécier quelques-unes des plus célèbres oeuvres d'art du monde, et notamment Le radeau de la méduse de Théodore Géricault, qui me fascine depuis que je suis petit. Fun fact, vous noterez en première photo que l'ancêtre de Gérard Depardieu a servi de modèle pour un portrait.
Peace man !
Pour le tournage d'une publicité web vantant les mérites d'un produit ménager, j'ai eu la (plus ou moins bonne) surprise de découvrir que mon personnage devait porter un bob et des dreadlocks. Dans l'idée, ça peut être sympa mais c'est quand même mieux si c'est avec une perruque de qualité. Bref, on verra le résultat et c'était quand même amusant à tourner.
En attendant, peace and love !
Les joies du net
Sur le web, et notamment sur Twitter, il n'y a pas que de la violence verbale et des mauvaises nouvelles. Il y a aussi, de temps en temps, des bons mots et des posts qui donnent le sourire. Comme par exemple cette belle suite de commentaires inspirés :
Brooklyn Nine Nine
Je viens de terminer les six saisons de Brooklyn 99 diffusées sur Netflix et j'ai l'impression de quitter une famille. Six saisons de pur bonheur, avec des personnages attachants et bien écrits (le génial Adam Samberg en tête) (mais tous les personnages secondaires sont parfaits) (avec une affection particulière pour Charles Boyle). On y suit des inspecteurs de police tous plus loufoques les uns que les autres et leur capitaine dans un commissariat de Brooklyn. Il y a une vingtaine d'épisodes par saison et la régularité et la qualité de l'humour (extrêmement absurde, ce que j'adore) est incroyable. C'est intelligemment bête, les situations sont toujours drôles et variées, c'est bourré de bonnes idées, bref vous l'aurez compris, c'est une pépite. Savoir qu'il y a deux nouvelles saisons qui ne sont pas encore diffusées sur Netflix me remplit de joie. En général, j'aime quand il y a une fin à une série. Pour Brooklyn Nine Nine, j'en redemande. Irrésistible.
Galerie dorée
A l'occasion des journées du patrimoine, il fallait jouer tactique vu le monde attendu, mon choix s'est porté sur la Banque de France et je n'ai pas regretté tant la Galerie dorée est absolument sublime. Je vous recommande chaleureusement de la découvrir lors d'une prochaine édition.
L'un de nous deux
J'ai enfin fait mon retour dans une salle de théâtre: c'était au Petit Montparnasse pour la pièce L'un de nous deux. Juin 1944, une prison en Allemagne. Derrière les barreaux, 2 hommes, côte à côte et face à face: Léon Blum, fidèle de Jaurès et chef du Front populaire et Georges Mandel, collaborateur de Clemenceau. L'un d'eux sera sacrifié. Entre temps, on assiste au dialogue imaginaire de ces deux hommes que tout oppose. L'interprétation est convaincante, le sujet est intéressant et l'écriture de qualité. En revanche, la mise en scène est très basique et il est préférable d'avoir de solides connaissances historiques sur cette période (ce que je n'ai pas) pour apprécier à leur juste valeur les nombreuses références, sous peine de décrocher quelques fois. Et puis le combo masque + salle fournaise + journée du Patrimoine à marcher n'est pas idéal pour apprécier une pièce de théâtre très bavarde (mais joliment bavarde).
Merci Leïla
Les hasards du web m'ont mené vers cet extrait d'une intervention de l'auteure Leïla Slimani (prix Goncourt pour Chanson Douce quand même) et j'ai été très touché par ses paroles, qui débordent selon moi de sensibilité et d'intelligence. Elle a mis avec beaucoup de justesse des mots sur une sensation que j'ai à propos de la société et qui me désole.
C'est court, c'est simple mais je trouve ça parfait.
Merci Leïla.
Vos papiers s'il vous plaît !
Dans le cadre d'un long-métrage humoristique, j'ai campé en tant que figurant un policier avec, évidemment, la tenue complète. Avec le gros ceinturon, le flingue et les bottines, on marche quand même naturellement comme un cow-boy. ^^
Ça tourne sur fond vert
Avec ANKA Films, on vous prépare des trucs chouettes et dans la bonne ambiance. Hâte de vous faire découvrir ces projets fort sympathiques !
Musée de l'illusion
Il me faisait de l'oeil depuis un moment, j'ai finalement trouvé un moment pour visiter ce fameux musée de l'illusion. Et c'était vraiment plaisant, parfois surprenant et toujours amusant. Certaines expériences sont même très étonnantes, comme ces différentes tailles alors qu'on se trouve sur la même ligne. L'oeil et le cerveau nous réservent quelques surprises. Un petit musée ludique donc et qui permet de ramener quelques souvenirs photographiques originaux.
Street art à Vitry
Ouuuh que j'aime beaucoup ces sorties street art dans lesquelles je découvre plein d'oeuvres aussi diverses que variées au détour de petites ruelles. Cette fois-ci, c'était à Vitry-sur-Seine et ça valait vraiment le déplacement tant la ville foisonne de street art de qualité dans un périmètre assez réduit. Moi qui raffole des jolis portraits originaux et colorés, j'ai été servi tant Vitry regorge de petites pépites. Voilà un petit diaporama non exhaustif de ma petite virée:
Un petit dej' comme on les aime
Avant de prendre mon train et de rentrer à Paris, j'ai fait un petit déjeuner pour le moins original et sympathique avec ma maman, sur la plage, les pieds dans l'eau. Et c'est bien agréable puisqu'il n'y avait quasiment personne et que l'eau était parfaite. A refaire dès que possible !
Paradis bis
Comme on n'est pas du genre à lâcher l'affaire, quelques jours plus tard les deux cocos sont revenus et on a enfin pu se régaler en faisant notre randonnée, sous un soleil de plomb, vers la calanque de Sugiton, avec en récompense, un bain (frais) qui nous a fait le plus grand bien. Je ne le dirai jamais assez mais Marseille, c'est quand même pas vilain, hein? Et quelle chance d'avoir accès à la mer et les calanques dans une grande ville !
Pique-nique de rêve
Pierre-Yves et Anne-Laure passant quelques jours à Toulon, ils sont venus me faire un petit coucou pour que je leur fasse découvrir la superbe calanque de Sugiton. Manque de bol, une fois sur place, nous avons eu la désagréable surprise de voir tous les massifs fermés pour cause de vent trop fort. Une fois la déception digérée, pas de problème, ce ne sont pas les coins chouettes qui manquent à Marseille. On s'est donc fait un pique-nique original et avec une vue pas dégueulasse, seuls au monde, sur la baie des singes.
Superbe publicité
Je partage très rarement de publicité sur mon blog mais j'ai trouvé la dernière proposition de Nike tellement bien fichue que je voulais la partager avec vous.
Undone
Diffusée sur Amazon Prime Video, Undone avait à la base trois arguments pour me séduire: tout d'abord, elle est réalisée par les créateurs de Bojack Horseman, ce qui est un sacré gage de qualité, ensuite elle est courte (une saison, 8 épisodes de 23 minutes) et surtout, elle utilise la (rare) technique de la rotoscopie qui donne une identité unique au show. Le parti-pris artistique est à la fois fascinant et perturbant et sert parfaitement l'univers. De quoi ça parle d'ailleurs? Après un accident de la route qui a failli lui coûter la vie, Alma se découvre un nouveau rapport au temps et se sert de cette nouvelle capacité pour découvrir la vérité sur la mort de son père. Pour conclure, Undone est une série OVNI tant sur sa forme que sur le fond (voyage mystique? maladie mentale? don extraordinaire?) qui mérite qu'on s'y intéresse.
Paradis
C'est une telle chance d'avoir les calanques, la mer, la nature au sein d'une grande ville. Ce n'est pas un secret, j'aime ma ville natale, Marseille. Quel plaisir de faire cette randonnée dans la calanque de Morgiou et être récompensé par un bon restaurant et un bain (un peu frais, certes).
La nuit aux Invalides
Après Versailles, c'est un autre inévitable monument francilien qui m'a vu dans ses parages au mois de juillet. Cette fois-ci, c'est la cour des Invalides et de nuit, histoire de varier les plaisirs. Grâce à un impressionnant spectacle de son et lumière projeté sur les murs des Invalides, on est plongés au coeur de l'histoire de France, pour une expérience agréable.
La vie de château
Petite visite d'un grand monument: le château de Versailles et ses jardins. Covid oblige, il y avait moins de monde qu'à l'accoutumée (mais moins de monde à Versailles, ça veut dire beaucoup de monde quand même). Une galerie des glaces toujours impressionnante, quelques très beaux tableaux, le poids de l'histoire et un jardin où il est agréable de se poser, voilà un indispensable du tourisme français.
Panda chou
Le panda roux est un peu mon top animal graou, celui qui me fait fondre. Et j'ai appris que pour se défendre, menacer ses proies et se montrer plus imposant, il se mettait debout les bras levés. Et pour reprendre les propos de @Mad_Chien sur Twitter, "ce qui fait que plus il est en colère, plus il a l'air trop chou".
Affiches moyen-âge
Un certain Simon de Thuillières a eu la bonne idée et le talent de transposer des affiches de films cultes à la sauce Moyen-Âge et le résultat est souvent savoureux. Que ce soit au niveau graphique ou même l'adaptation au langage d'autrefois, ces affiches à la sauce moyenâgeuse font un sans faute. Hâte de découvrir les prochaines oeuvres détournées...
Le retraite d'une icône
Sur les rings depuis 1984, The Undertaker était mon catcheur favori quand j'étais ado. Sept fois champion du monde en solo et six fois en équipe (bon c'est du catch hein, on va dire que les scénaristes l'aimaient bien aussi...), le Deadman m'impressionnait par son charisme et son imposante stature ainsi que par l'univers qu'il avait créé autour de son personnage. En bon croque-mort qu'il est, il ramenait parfois un cercueil à côté du ring et repartait avec son adversaire vaincu enfermé dedans. Son costume dark, ses yeux blancs et ses entrées cultes sur La Marche Funèbre rendaient le catcheur unique et très impressionnant. Bonne retraite Undertaker (j'ai quand même un peu du mal à l'imaginer en pantoufles...) !
Usual Suspects au ciné
Ouh je suis encore tout excité. UGC Ciné Cité Les Halles a organisé une projection exceptionnelle de mon film préféré, le numéro un dans mon coeur, le cultissime Usual Suspects vingt-cinq ans après sa sortie en salles. Or, si j'avais fait tourner la VHS de nombreuses fois dans mon adolescence, je ne l'avais jamais vu dans les meilleures conditions qui soient, à savoir dans une belle salle de cinéma. Et le charme ne s'est pas estompé avec toutes ces années, j'ai eu ma traditionnelle chair de poule et mes frissons de bonheur dans les dernières séquences du film. Chef-d'oeuvre !
Course intergalactique
L'année dernière, j'avais tourné sur fond vert un court-métrage des élèves d'ISART Digital, spécialisés dans la modélisation 3D et les effets spéciaux. Après un an de post-production (et un an avant de préparation) et de travail acharné, voici que Race pointe le bout de son cockpit. Le court a d'ailleurs remporté le grand prix du jury 2020 ISART. C'était une très chouette expérience et je remettrai ça avec plaisir. Pour savoir qui gagne cette course effrénée contre la mort, je vous invite à visionner le film ci-dessous:
Penny Dreadful
Londres à l'époque Victorienne, Dorian Gray, Dr. Frankenstein et sa créature, le loup-garou, Dracula et d'autres qui cohabitent dans le même univers ainsi que la sympathique bouille du rare Josh Hartnett, voilà un cocktail qui a pas mal d'atouts pour attirer ma curiosité. A cela on peut ajouter une superbe photographie, de beaux costumes et le charisme de Timothy Dalton. Esthétiquement, Penny Dreadful et son romantisme gothique font un sans faute. Mais malgré son esthétisme incontestable, la série n'est pas parfaite. J'ai par exemple eu le sentiment que la show aurait gagné à être plus dense ou à approfondir certains personnages. Et je pensais que certaines sous-intrigues importantes allaient finir par se recouper avec la trame principale pour un final grandiose, ce qui n'a pas été le cas. De légers bémols pour une série plaisante et élégante.
Le retour du ciné !
Trois mois de manque, trois mois sans ma drogue cinéma. Ça y est, les salles vont enfin réouvrir et comme vous pouvez le deviner en voyant ma petite collection de tickets ciné, j'ai hâte de retourner dans les salles obscures !
Marseille, mon amour
Je n'y étais pas retourné depuis les vacances de Noël, c'est donc avec un immense plaisir que j'ai retrouvé ma ville natale, ma famille et le soleil. Vieux port, le Panier, le Cours Julien, le Pharo, le Prado, le Vallon des Auffes, Callelongue, le plage de Carro, la Corniche, Notre-Dame-de la Garde, tout y est passé et pour mon plus grand bonheur.
Marseille street art
C'est la tradition, je n'ai donc pas loupé mon petit tour dans les ruelles street art de ma ville pendant mon séjour.
Fucking vegetarians
Je suis tombé sur cette image amusante sur le net. Et comme ces derniers temps, je diminue drastiquement ma consommation de viande (du moins dans mes courses), cette illustration humoristique m'a d'autant plus parlé.
XI de légende
Je lis régulièrement des joueurs ou des journalistes établirent leur XI de légende. Je voulais le faire aussi depuis un moment et j'ai enfin trouver le site et le temps (confinement oblige) pour m'y atteler. Ce ne sont pas forcément les meilleurs joueurs de tous les temps (donc pas les classiques Cafu ou Roberto Carlos sur les ailes, Ronaldo R9, Messi, etc) mais les joueurs qui m'ont fait rêver ou auxquels je me suis le plus identifié. Il y a donc forcément des joueurs de l'OM dans sa glorieuse période des années 90 (les bouchers Mozer et Di Meco ainsi que l'artiste Magic Chris Waddle) (pour l'anecdote, enfant, je m'étais fait les coupes de cheveux de ces deux derniers) ou plus récente (Gaby Heinze que j'adorais) et évidemment des argentins (5!) puisqu'il n'y a pas mieux lorsqu'on doit combiner la grinta, le charisme et le talent (encore Heinze, le fantasque Caniggia ou mon joueur préféré: Redondo). Un peu moins connus que leurs coéquipiers de cette équipe de mes rêves, j'ai toujours adoré Zambrotta et Almeyda. Enfin, pour sa classe et sa carrière (et malgré sa pige au PSG), j'ai mis Buffon en gardien et deux de mes idoles de jeunesse pour animer l'attaque: Roberto Baggio et Gabriel "Batigol" Batistuta. Tout cela donne une équipe très équilibrée, avec beaucoup de caractère, de créativité et de talent.
Voici donc le mon XI idéal.
Mais je n'ai pas pu résister à la tentation à faire deux nouvelles équipes avec d'autres joueurs m'ayant marqués:
- Pour mon XI bis, j'ai mis deux anciens marseillais: Vedran Runje dans les buts (il y a peu de gardiens auxquels je me suis vraiment identifié mais le croate m'avait beaucoup plu lors de son passage à l'OM) et l'inévitable Basile Boli, véritable légende de mon club de coeur. En défense, on retrouve également Alessandro Nesta, la classe à l'état pur, et Aldaïr, défenseur brésilien que j'aimais beaucoup dans les années 90. Au milieu, il n'était pas des plus connus mais j'aimais beaucoup l'élégant Paulo Sousa. A ses côtés, deux gros travailleurs, les charismatiques Steven Gerrard et Edgar Davids. Sur les ailes, deux grands talents, très classes, David Beckham et Javier Zanetti. Et enfin, devant, le légendaire Cristiano Ronaldo (oui c'est un peu facile mais son efficacité et son professionnalisme m'ont toujours impressionné) est accompagné de mon chouchou suédois aux dreadlocks, Henrik Larsson.
- Pour mon équipe ter, il y a encore cinq anciens marseillais. Mais d'abord, Iker Casillas (comme pour Buffon, pour sa carrière, sa classe et son palmarès) dans les cages. En défense, le très controversé Sergio Ramos (j'aime son caractère de leader), deux monstres de l'époque du grand Milan AC (Rijkaard et Maldini) et... le colombien Mario Yepes, ancien du PSG (que j'adorais au FC Nantes, avec sa bonne gueule) (j'étais donc hyper déçu qu'il signe chez le club rival). Il y a deux qualités opposées que j'adore dans le foot, c'est l'agressivité et l'élégance. Mes deux milieux incarnent chacun l'un de ces aspects: le bouillant albanais Lorik Cana, ex-capitaine marseillais et le maître à jouer Andrea Pirlo. Pour le quatuor offensif, que des joueurs de l'OM: en premier lieu, l'irrégulier mais tellement talentueux Dimitri Payet, que j'adore voir jouer. Dans les couloirs, je suis content de mettre un père et son fils: Abedi Pelé, membre génial de l'équipe championne d'Europe et André Ayew, formé au club et modèle d'abnégation, c'était mon chouchou des années 2010. Enfin, à la pointe de l'attaque, même si son charisme n'était pas le plus évident, il a marqué tellement de buts pour l'OM et m'a fait rêver avec ses "papinades", je ne pouvais pas ne pas nommer Jean-Pierre Papin.
Tales from the loop
Série atypique s'il en est, Tales from the loop a été créée à partir des peintures de l'artistes suédois Simon Stalenhag. On y suit les habitants d’une petite ville qui font face à des événements hallucinants. Tous ont un lien avec une machine baptisée The Loop, une sorte de centre expérimental qui déverrouille et explique les mystères de l’univers. Les huit épisodes ne sont pas des suites pures et simples mais sont liés, chaque unité se concentrant sur un personnage en particulier. Il y a du Black Mirror dans ces Tales puisqu'on y découvre des propositions de science-fiction variées et fascinantes ainsi que leurs dérives. Il y a surtout de la poésie avec ses paysages surréalistes, cette musique envoûtante et ce rythme contemplatif. Tales from the loop est une série particulière, élégante, délicate. Si vous espérez de la science-fiction grand public ou de l'action, passez votre chemin. Si vous êtes ouverts à la poésie et la mélancolie saupoudrées de fantastique, vous devriez trouver votre bonheur.
Retour devant l'objectif
Après deux mois de confinement, c'était sympa de retrouver la caméra et surtout les copains. Avec Céline, Pitt, Jérôme et Etienne, on est allés à Baugrenelle pour tester le matos des deux derniers. A cause d'un problème technique, ça a tourné court mais c'était quand même bien sympa.
Balade street art
Puisqu'on est enfin libres de pouvoir sortir, j'ai profité de cet agréable temps printanier pour arpenter les rues du 20ème arrondissement (plus spécifiquement le mur de la rue des Maronites et la rue des Cascades) et découvrir quelques sympathiques oeuvres street art.
Validé
Validé, c'est la dernière série Canal + (qui, il faut bien le dire, se trouve tout en haut des créateurs de programmes français) dans laquelle on suit l'éclosion explosive d'un jeune prodige du rap. Apash, pseudo artistique de notre personnage principal, va se retrouver, par un concours de circonstances et une bonne dose de courage et de talent, propulser nouvelle coqueluche du rap game français et son parcours pour réaliser son rêve va se retrouver semé d'embûches (entre les guerres d'égo, les connaissances nuisibles qui veulent croquer dans le gâteau et le passé qui fait des siennes). Si la série n'est pas parfaite (un jeu inégal, quelques facilités de scénario et parfois un manque de nuances), elle reste très efficace. On reste suspendu aux péripéties de notre héros, le son est bon et on nous montre le revers violent du disque d'or du monde du rap. Et puis en voilà une fin marquante !
Création affiches
Pendant le confinement, j'ai également profité de mon temps libre pour créer deux affiches de courts-métrages écrits par mes soins qui n'avaient pas de visuels. Ci-dessus se trouvent donc mes affiches des films L'échange de bons procédés et Le choix de Mister Ouaf, réalisés par Jérôme Piel-Desruisseaux, et que vous pouvez voir en cliquant sur les titres.
Same planet, different world
Mes pérégrinations sur le web me font parfois découvrir des oeuvres marquantes. Les photomontages de l'artiste turc Uğur Gallenkuş font par exemple partie de ces surprises qui marquent. Artistiquement stupéfiants mais surtout d'une force incroyable, ces juxtapositions d'images ont été créées pour nous pousser à prendre conscience des différences et inégalités à travers le globe, des contrastes entre le monde occidental et les pays en développement. Et l'art a cette capacité fascinante de pouvoir se passer des mots pour pour faire passer des messages forts...
Le bureau des légendes
J'ai profité du confinement pour rattraper la série française la plus réputée de ces dernières années : Le bureau des légendes. Et je dois dire que sa notoriété et son succès sont mérités, tant j'ai pris un énorme plaisir durant les cinq saisons qui composent l'un de mes gros coups de coeur du moment. Complexe mais passionnant, le scénario de la série créée par Eric Rochant nous tient en haleine sans discontinuer, fort d'un univers réaliste et très riche, d'intrigues nombreuses et intéressantes, de personnages profonds (mention spéciale au casting au passage) et de rebondissements bien sentis. Vous l'aurez compris, Canal + a signé une série brillante qui tient la dragée haute à ce qui se fait de mieux à l'international et nous fait découvrir avec brio le quotidien mouvementé de la DGSE. Passer à côté du Bureau des légendes pourrait être considéré comme un acte de trahison !
Je m'essaie au dessin !
Cela fait des décennies (j'exagère à peine) que je me dis qu'il faudrait que je trouve un peu de temps pour m'essayer au dessin, ce serait se foutre légèrement de la gueule du monde si je ne réussissais pas à me dégager quelques petits créneaux pendant le confinement. Voilà donc que je ressors un carnet et un crayon 4B achetés il y a quelques années et que je m'adonne à cette activité fort plaisante. Pour me lancer, j'ai décidé de m'inspirer d'un artiste que j'aime beaucoup, Ilya Kuvshinov.
The Expanse
Cette belle affiche m'intriguait, j'avais envie de faire une pause Netflix pour voir une série Amazon et j'avais lu que, malgré une première saison moyenne, The Expanse était considérée comme un bijou de la science-fiction par certains. Voilà pourquoi je me suis lancé dans cette adaptation d'une saga littéraire à succès. Effectivement, j'ai moyennement accroché à cette première saison mais je ne regrette pas d'avoir persévéré. Avec le temps, on s'attache à l'équipage du Rocinante et aux nombreux personnages annexes. La Lune, Mars et la ceinture d'astéroïdes ont été colonisés, chacun ayant sa propre culture et ses particularités. Tout cela donne lieu à des intrigues politiques fortes, des personnages complexes, le tout dans un univers spatial plaisant aux effets spéciaux de qualité. De la bonne science-fiction donc et un dépaysement assuré pour peu qu'on s'accroche à cette première saison pas franchement inoubliable.
Humour confiné (suite)
Le confinement est toujours d'actualité, les blagounettes sur internet également. Voici la suite de ma sélection des plus réussies vues sur le web et toujours en rapport avec cette situation unique que nous sommes en train de vivre.
La Casa de Papel, parties 3 et 4
Alors je ne vais pas me faire que des amis sachant la popularité de cette série mais je trouve que La casa de papel est une série agaçante. En plus du côté complètement dispensable des parties 3 et 4 (les deux premières parties se suffisaient à elles-mêmes mais l'attrait de l'argent facile était sûrement trop fort), les créateurs ont repris exactement la même recette, avec un Professeur qui a absolument tout prévu (pourquoi s'inquiéter du coup?). Mais ce qui m'agace par dessus tout, c'est la bêtise des personnages et les facilités de scénario pour qu'il se passe toujours quelque chose. Après, il faut reconnaitre que les personnages sont attachants et que le rythme est soutenu, donnant envie de savoir la suite mais on voit tellement les grosses ficelles que ça en devient énervant. Bref malgré l'efficacité de la formule et cette chouette affiche, La casa de papel aurait dû s'arrêter se contenter de ses deux premières parties (perfectibles aussi, au passage).
Art confiné
En cette période de confinement, on est tous un peu des tableaux d'Edward Hopper...
Humour confiné
A moins de revenir d'un retraite spirituelle de plusieurs semaines et de vous précipiter en premier lieu sur mon site (ce qui serait très curieux mais qui me ferait plaisir), je ne vous apprends rien, on est confinés chez nous (on est intelligents, on va pas pique-niquer dans les parcs, hein?) à cause de ce satané covid-19. Histoire de ne pas prendre le risque de faire voyager le virus, j'ai annulé (le coeur gros) mon train pour Marseille et reste dans mon appart à Paris. Heureusement, les gens font preuve d'humour et d'imagination pour rendre le confinement plus agréable.
Petit florilège de mes préférés glanés sur le net:
Fournée de bouquins
Moi qui lis habituellement uniquement dans les transports en commun, j'inaugure la lecture confinée dans mon appartement avec cette dernière fournée de romans :
- L'homme démoli (Alfred Bester)
- La tour de Babylone (Ted Chiang)
- Dernières fleurs avant la fin du monde (Nicolas Cartelet)
- Ecrire (Marguerite Duras)
- Isidore et les autres (Camille Bordas)
- Pottsville, 1280 habitants (Jim Thompson)
- Vers la beauté (David Foenkinos)
- L'empathie (Antoine Renand)
- Loin (Alexis Michalik)
FAAAIL ! sur Twisted Mirror TV
Alors je suis un peu à la bourre puisque cette news a quelques mois mais ma série FAAAIL! est disponible en intégralité sur la plate-forme Twisted Mirror TV. Pour accéder au lien, cliquez ici.
Et on a eu le plaisir de découvrir des chouettes critiques d'utilisateurs de l'Amazon Prime Vidéo anglo-saxon, plate-forme sur laquelle FAAAIL! est également diffusé.
Capture d'écran ci-dessous:
KINGDOM
Bon, c'est vrai qu'à la base, il y avait une prédisposition favorable puisque j'adore le cinéma coréen, qui est, je trouve, l'un des plus intéressant et talentueux du moment. Et ce n'est pas la série Kingdom qui va me faire changer d'avis. Dans un royaume rongé par la corruption et la famine, des rumeurs sur la maladie du roi obligent le prince héritier à agir pour sauver le pays d'un mystérieux fléau transformant les morts en monstres affamés. Des katanas et des zombies, voilà qui fait bon ménage ! Mais il serait beaucoup trop réducteur de cantonner (non, c'est coréen, vous pouvez pas faire la blague) Kingdom à ces deux aspects. Car la réalisation de haute volée (de Kim Seong-Hun, déjà en charge du génial Hard Day), le casting impeccable, la qualité des costumes et le rythme soutenu sont autant de qualités pour cette fresque historico-horrifique haletante que j'ai pris beaucoup de plaisir à dévorer (comme un zombie affamé). J'aurais toutefois aimé que la série se clôt sur cette saison 2 très réussie...
Animal covers
C'est sur le site boredpanda que je suis tombé sur ces photos amusantes d'animaux qui pourraient être de parfaites couvertures d'album. Entre la pop anglaise pour les chiens, le rap pour les pigeons ou le rock pour les pingouins, il y a du choix.
Les décâblés
Même quand je ne joue pas, je me débrouille pour finir sur scène... Je suis allé voir avec Pierre-Yves un spectacle d'impro, Les décâblés au théâtre des Blancs Manteaux et j'ai été choisi par une comédienne pour l'accompagner sur scène le temps d'une improvisation. Toujours un peu gênant quand tu étais une minute avant pépère dans le public.
Sosies d'un autre pays
Il paraitrait qu'on a tous au moins un sosie sur la planète. Quand on est célèbres, forcément, c'est plus facile de faire le rapprochement. Voici donc quelques ressemblances frappantes (souvent d'origines complètement différentes) de célébrités glanées sur le net. Et c'est plutôt amusant.
I am not okay with this
Lorsqu'on découvre I am not okay with this, on n'est pas surpris d'apprendre que sont impliqués les auteurs de The end of the fucking world et les producteurs de Stranger Things tant les univers et l'esthétique sont proches. Cette fois, on suit une adolescente introvertie depuis le suicide de son père qui va découvrir qu'elle a un incroyable pouvoir avec son esprit qu'elle ne peut maitriser. Oui, ça pourrait être la jeunesse de Jean Grey, alias Phoenix des X-Men. Tout est bien dans la série: le casting, la photographie, l'écriture,... Et pourtant, je n'ai pas été pleinement emporté par cette histoire. Un peu trop lent et convenu, sans doute. On a l'impression de voir une introduction qui dure une saison complète. I am not okay with this se regarde quand même facilement puisque cette première saison ne fait que 7 épisodes de 20 minutes et que c'est qualitatif mais il manque la petite étincelle pour la rendre incontournable.
Un peu de street art
Vous le savez, je ne résiste pas à déambuler dans les ruelles avec du street art et de les immortaliser. Voici donc quelques oeuvres photographiées près du métro Corvisart.
Reprise de Gretel & Hansel !
La programmation de Gretel & Hansel à La Scène parisienne s'est terminée en même temps que les fêtes de fin d'année. Nous voilà de retour pour quelques dates, dans différentes écoles cette fois, puisque le spectacle a été acheté par le Théâtre de la Ville. Comme c'est bien organisé et que c'est fait dans de bonnes conditions, espérons que cela débouche sur de nouvelles dates à la rentrée.
Un mystère résolu !
Coup de coeur théâtral
Les crapauds fous. Sous ce titre intrigant se cache une pépite de pièce de théâtre. Ecrite et mise en scène par Mélody Mourey, cette comédie d'aventure inspirée d'une histoire vraie a très justement reçu 3 nominations aux Molières: Meilleur spectacle, meilleure auteure et meilleure mise en scène. La pièce conte l'histoire vraie de médecins polonais qui, durant la seconde guerre mondiale, sauvèrent des milliers de vie en organisant une supercherie. Mêlant habilement humour et émotions, mélangeant passé et présent, Les crapauds fous est une pièce vive, portée par une mise en scène fluide et inventive, qui n'est pas sans rappeler la patte d'Alexis Michalik. Bref, un excellent moment que je vous recommande.
ANKA sur Facebook
Comme vous le savez peut-être, j'ai créé une association audiovisuelle avec mon ami Michaël Marie et elle s'appelle ANKA Films. Nous avons déjà produit plusieurs projets et, on l'espère, beaucoup d'autres vont suivre. Une page Facebook vient d'être ouverte, je vous invite donc à la liker ici pour suivre notre actualité.
Voix off
Dans le cadre d'une publicité internet pour le compte de Raizers (plateforme d'investissement en ligne), j'ai prêté ma voix. Merci à Jibé pour sa confiance ! Retrouvez le spot juste en dessous :
Après l'excellent LastMan, voici trois autres séries d'animation française pour adultes produites par BlackPills :
Crisis Jung
Un univers post-apocalyptique et une inspiration clairement affichée de Ken le survivant, voilà qui peut être réjouissant. Et pourtant, autant le dire tout de suite, je n'étais pas été emballé par Crisis Jung. Si le graphisme, la violence et le 10ème degré évoquent avec nostalgie les grandes heures du Club Dorothée, le résultat est loin d'être aussi concluant. La faute en particulier à une redondance incroyable, chaque épisode étant construit de manière quasiment identique (la moitié des plans est semblable sur chaque épisode d'ailleurs) donc c'est très vite lassant. C'est quand même plaisant de voir une production aussi osée et dérangeante en France mais ça ne suffit pas pour faire un bon programme.
PeePooDo & The Super Fuck Friends
Dans un genre complètement différent mais à ne pas mettre non plus devant des yeux innocents (non, vraiment, ne vous faites pas avoir par le dessin mignon du personnage principal), Peepoodo & the super fuck friends est un dessin animé de 18 épisodes d'environ 4 minutes chacun dans lequel on voit des bites et des vagins partout et tout le temps. Ici, la censure est loin très loin et le délire des auteurs va encore plus loin. Bien que ce soit extrêmement trash et vulgaire, les messages sont chaque fois positifs, comme pour un dessin animé pour enfants. Et même si les épisodes sont inégaux, on s'amuse bien devant ces aventures complètement décomplexées de Peepoodo.
Vermin
Enfin, Vermin débarque sur Netflix et c'est un gros coup de coeur. Mantos, une mante religieuse mâle, naïve et pucelle quitte son cocon familial pour
rejoindre la police dans la grande ville (une décharge). Et même si ses idéaux seront malmenés, il fera son possible pour être à la hauteur de son regretté père. Voilà pour le pitch. Pour le
reste, ça passe très vite (10 épisodes de 6 minutes) et c'est une tuerie. Alors, le graphisme et l'animation sont moches mais ça n'a aucune importance tellement l'univers est maitrisé, les bonnes
blagues fusent, c'est intelligement débile, absurde, vulgaire, inventif, très trash mais surtout extrêmement drôle. Le seul bémol, c'est que ça passe beaucoup trop vite mais des bémols comme ça,
on en redemande tous les jours !
PS: Ô joie, deux nouvelles saisons ont été annoncées en cours de production.
Fête du personnel George V
Comme tous les ans, en janvier, le George V organise une très belle soirée dans l'un de ses salons. Au programme, spectacles ou vidéos des services, tout le monde sur son 31, repas de gala, dance-floor et toujours ce bon vieux photomaton.
Le gros diamant du prince Ludwig
Il y a quelques années j'avais adoré Les Faux British, pièce complètement déjantée. La même équipe est de retour avec Le gros diamant du prince Ludwig, pièce auréolée du Molière 2018 de la meilleure comédie. Vous comprendrez donc que, même si j'ai un peu tardé, je ne pouvais pas passer à côté. D'autant que je croisais l'affiche tous les week-ends puisque Le Palace se situe juste à côté de La Scène Parisienne où je j'ai joué Gretel & Hansel pendant quatre mois. Bon et du coup, c'était comment ? Force est de constater que c'était très en dessous des Faux British, bijou d'absurdité. Ici, à part deux scènes marquantes à la mise en scène dingue, les ficelles sont grosses et les gags quelque peu éculés, tirant clairement vers le théâtre de boulevard. Reste tout de même une pièce divertissante mais j'avoue être surpris par cette récompense de Molière de la meilleure comédie.
Hikofoto, la suite !
Et voici la suite des photos de l'ami Grégory Le Fourn, dont le pseudo de photographe est Hikofoto. Il y a quelques semaines, nous avions fait des portraits en intérieur mais à cause du temps orageux, on n'avait pas pu faire de photos en extérieur, en pied notamment. Nous voici donc à nouveau réunis, aux alentours de la bibliothèque François Mittérand pour quelques clichés visant à compléter mon book comédien. Ce sont des photos essentiellement en costume donc Le Bureau des légendes, si jamais vous passez par là, je vous écoute. :)
Living with yourself
Miles est un type ordinaire à la vie peu enthousiasmante. Un mystérieux Spa lui propose de devenir la meilleure version de lui-même, avec une confiance boostée au maximum. Il accepte le deal mais doit composer avec une surprise majeure: il se retrouve avec son clone, identique mais mieux en tout et doit secrètement cohabiter avec lui. Ce pitch un peu farfelu et la présence du toujours sympathique Paul Rudd m'ont poussé à voir cette série d'une saison, agréable mais qui ne laisse pas une sourire impérissable. On passe un bon moment durant les 8 épisodes qui composent cette saison mais on a l'impression que cela aurait pu être beaucoup mieux, moins prévisible. Paul Rudd est sans surprise très attachant, sa partenaire de jeu beaucoup moins, quelques séquences sont amusantes mais pas de quoi se taper le cul par terre (ce qui, dans tous les cas, serait quand même une action très bizarre).
Le retour du Chaperon !
Après plusieurs mois d'absence, notre pièce Pour faire un bon petit chaperon était de retour pour 3 dates exceptionnelles dans de très belles salles complètes (3 x 150 personnes, ça fait plaisir !) à Emerainville et une double à la Garenne-Colombes. On s'est éclatés (pas que la gorge!), surtout quand le décor s'est cassé la gueule pendant la dernière et qu'on a dû continuer à jouer avec les comédiens qui ne sont pas sur scène qui retenaient tant bien que mal le décor. Original !
Et on avait même nos affiches sur les colonnes Morris !
iDAM
La saison des films Nikon est lancée, voici donc mes trois participations à cette nouvelle édition dont le thème cette année est "génération". La durée maximale quant à elle ne change pas: 2min20.
Voici donc iDAM, film réalisé par Michaël Marie et écrit par mes soins en compagnie de Pierre-Yves.
Je partage l'affiche avec ce bon vieux Pierre-Yves et nous sommes accompagnés de Marie Céline et Mathilde Bourbin. Cette année, nous avons choisi de nous essayer à un nouveau genre, celui de l'anticipation. C'est le jour J pour la commercialisation d'iDAM, l'humanoïde domestique nouvelle génération, qui va bouleverser le quotidien de nombreux foyers. Mais jusqu'à quel point?
Papa Pornstar
Sous ce titre sans équivoque (vous avez échappé à quelques autres qui ne laissaient pas de place au doute non plus ^^) se cache un court-métrage écrit et réalisé par le poto Grégory Le Fourn dans lequel je partage l'affiche avec ce cher Ivan Sellier (on a joué de très nombreuses fois ensemble sur scène dans La nostalgie de Dieu). Cette fois-ci, il incarne mon père qui, comme le titre le laisse entendre, est une star du porno. Et il invite son fils sur un plateau de tournage (normal), lui qui veut suivre les traces de son paternel. Tourné avec un minimum de moyens et une équipe réduite à sa plus simple expression, Papa Pornstar était un pari osé mais réussi (selon moi) de Grégory qui traite le sujet du partage de façon bien particulière.
(SEIV')
Le premier Nikon que j'ai mis en boite pour cette édition est (SEIV') de ce bon vieux Jérôme Piel-Desruisseaux, court-métrage tourné avec cette toujours très chouette équipe de copains, Céline, Pitt, Etienne, Alexandra et Benjamin (et donc Jérôme bien sûr) (je sais qu'il va lire, je vais éviter de le vexer :-)). Difficile de parler du film sans en révéler le contenu, je préfère donc vous laisser le découvrir par vous-même. Allez si, je vous dis quand même qu'il y a un message écologique et qu'on a utilisé une technique pour filmer inédite pour nous !
After Life
J'avais entendu parler de ce Ricky Gervais, présenté comme un humoriste fin et très talentueux. Je l'ai découvert lors d'un discours qu'il a donné aux Oscars que j'avais très réussi, confirmant tous les bons échos que j'avais à son sujet. J'ai donc eu envie de voir sa série After Life. Depuis la mort foudroyante de sa femme, emportée par un cancer, Tony n'est plus que l'ombre de lui-même. Restant en vie uniquement pour ne pas abandonnée sa chienne, il se permet de faire et dire tout ce qu'il a envie puisqu'il se fout désormais de tout. Les six épisodes de cette première saison se regardent facilement, les différentes phases du deuil sont intéressantes et l'humour noir bien présent. Mais je dois reconnaître que je n'ai été qu'à moitié convaincu. La faute en grande partie à une sensation de mièvre, de gentillet qui parasite un peu le propos.
Le roi du balai !
Qui a dit que les hommes ne savaient pas faire le ménage ? Avec ce nouveau balai Neo Pulse et son seau essoreur automatique, ils n'auront en tout cas plus d'excuses ! Je le vends bien ? Tant mieux parce que je suis dans leur vidéo. Et le tournage s'est fait dans un loft hallucinant, dans lequel on aurait peut-être pu caser 14 fois mon appart.
Le dessert à 25€
Mon ami Julien étant de passage à Paris et étant fan de Jacquemus, ce styliste français en vogue, nous sommes allés testé son restaurant L'Oursin (excellent) puis prendre un dessert au Café Citron, tous deux situés aux Galeries Lafayette des Champs-Elysées. Et exceptionnellement, nous avons goûté le célèbre dessert citron signé Cédric Grolet à... 25€ (!!!). Réputé pour être un citron reproduit à l'identique, on était déçu de voir un glaçage par dessus. Et puis, même si c'est un très bon dessert, 25€ c'est quand même très chèrement payé.
2020 commence sur des patins
Le Grand Palais proposait, comme c'était le cas il y a quelques années (mais c'est peut-être tous les ans en fait), une patinoire en libre accès (enfin plutôt contre une somme prohibitive devrais-je dire). On a donc chaussé les patins et fait une virée sur la glace. Bon, on ne va pas se mentir, j'étais le moins doué du lot mais j'ai su rester digne sans tomber une fois et j'ai même entrevu quelques progrès. Bon, le revers de la médaille quand il y a une activité sympa à Paris, c'est que la moitié de l'Île-de-France a la même idée que toi le jour où tu décides d'y aller.
Sympa cette grue !
Pour commencer l'année avec le sourire, cette image de grue sportive et heureuse trouvée sur le net me semblait appropriée. :)
Bonne année !
Les amis, je vous souhaite que du bonheur pour cette nouvelle année, du bonheur, des sourires et surtout, faites-vous plaisir ! De mon côté, j'y compte bien, et ça passe par du temps avec mes proches, des voyages, des films que je tourne et des planches (de théâtre hein, rien à voir avec du bricolage) !